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Polichinelles dernière

Quelle est la meilleure façon de marcher ?

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Je dirai incontestablement "mettre un pied devant l'autre ! " Et refuser l'envie de faire demi-tour devant l'obstacle... Après tout si l'on ne connaît  pas le terrain rien ne nous dit que le meilleur ne se trouve pas devant nous. Reste que la maxime bien connue : " On ne sait bien que ce qu'on connaît mais rien de ce que ignore s'appliquant ici une fois de plus  ..." Nous avons en 2012 traversé entièrement le célèbre Cirque de Mafate (Du Maïdo jusqu'au Cirque de Cilaos en passant par Marla et le Col du Taïbit) et ma fille ignorait encore qu'elle allait mettre au monde l'année suivante son premier garçon. Elle n'aspirait alors -inconsciemment et comme elle avait raison dans son état- qu'à rentrer et se reposer. Il faut encore ajouter qu'il faut y ajouter un gros de baskets. Problème non négligeable quand on se prépare à traverser la moité de l'île à pied ...Ma fille Emma ne se doutait pas une seconde  qu'elle 

EnoOrme !

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Explications du RETOUR vers ce blog en 2020 durant ces temps incertains tandis que les années ou Jamel faisait encore la une de l'actualité s'éloignent .... Il me semble aujourd'hui important de devoir aligner les mots qui me semblent les plus justes concernant la situation que nous traversons actuellement. Un désir devenu impérieux me souvenant de mes plus jeunes années sur les bancs de l'Université en vue d'obtenir un visa pour le journalisme... "un certain ideal féminin"  Aujourd'hui c'est la veille de l'anniversaire de ma femme dont je m'aperçois au fur et à mesure du temps qui passe qu'elle est devenue selon l'expression consacrée "La femme de ma vie !  Il est bientôt minuit et demain on fêtera son 71ème printemps tout comme moi depuis ce dernier 6  Avril 2020 ... 

DEBOUZE le livre qui révèle une ombre certaine !

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Un livre de l’écrivain-journaliste Bernard Violet revient sur la vie du comédien humoriste et nouveau marié. Et s’interroge sur le mystère de l’accident qui lui a fait perdre son bras… Dans Jamel Debbouze, l’as de cœur ,  l’écrivain-journaliste Bernard Violet dresse un portrait très élogieux de l’artiste franco-marocain. Un surdoué de la scène, du cinéma, de la télévision. Toutefois, la vie de Jamel ne manque pas de zones d’ombres, à commencer par l’accident qui lui a fait perdre l’usage d’un bras. Le chapitre est intitulé « Une sale affaire » . Le 17 janvier 1990, peu après 20 heures, deux jeunes gens sont fauchés par le rapide Nantes-Paris en gare de Trappes. Jean-Paul Vaïty, un Réunionnais, est tué sur le coup. Jamel Debbouze s’en sort avec de graves blessures. Après avoir risqué l’amputation, il perd définitivement l’usage de son bras droit. Est-ce un malheureux accident ou autre chose ?   Voleur de vestons Pour la famille Vaïty, leur fils Jean-Paul était doux et socia